Les rencontres de la photographie d’Arles, événement incontournable de tous les passionnés de cet art fêtent sa 55ème édition. Ce n’est pas moins de 50 lieux d’expositions décimés dans toute la ville qui nous permet de découvrir la photo sous tous ses angles : numérique, argentique, Intelligence Artificielle, vidéo…et qui donne une grande place à la jeune génération. Et c’est à ce titre que nous avons rencontrés l’une d’elles.
C’est dans le jardin d’été que nous avons posé notre caméra pour aller à la rencontre de Marine Lanier cette sympathique photographe qui nous accueille pour évoquer son projet « le jardin d’Hannibal » qui prend tout son sens dans cet environnement.

Qui est Marine Lanier ? Née en 1981 elle est originaire de Valence. Après des études de géographie de lettres et de cinéma, elle est diplômée de l’Ecole nationale supérieure de photographie à Arles.
C’est donc un retour aux sources pour exposer ses photos dans le cadre de ce magnifique « festival ».
Marine nous a parlé longuement de son projet issu des grandes commandes de photojournalisme porté par la BnF (Bibliothèque Nationale de France).
Le projet est une fusion de l’art photographique et des études faites dans les jardins d’altitude au col du Lautaret et l’impact du changement climatique.
Comment se comportent les plantes dans cet environnement d’altitude face à l’augmentation des températures. C’est un message d’alerte que Marine Lanier nous invite au travers de ses clichés dans le programme « alpage volant » encadré par des scientifiques et des chercheurs de l’université de Grenoble.


Voici un extrait de l’entretien que Marine Lanier nous a accordé.
Pour en savoir plus sur le projet porté par Marine Lanier :
http://www.marinelanier.com/index.php?/serie/le-jardin-dhannibal/
https://commande-photojournalisme.culture.gouv.fr/fr/marine-lanier-le-jardin-dhannibal

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